Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le Ciel Inside
21 février 2019

Développer le PIC

Quand le PIC deviendra-t-il une réalité? «Jamais aucun gouvernement n'a autant investi, en montant et en durée, sur la formation des plus fragiles. 2018 a été l'année de la construction. Jamais aucun gouvernement n'a autant investi, en montant et en durée, sur la formation des plus fragiles. 2018 a été l'année de la construction. En 2019, on sera en phase d'accélération et en 2020 en rythme de croisière. Je m'explique: le plan 500.000 formations mis en place à la fin du quinquennat Hollande à la va-vite, sans se focaliser sur des filières de qualité, a eu peu d'effet. Avec le PIC, nous avons pris le parti, courageux, de ne pas aller trop vite la première année en vue de bâtir, en partenariat avec les régions, un plan robuste et innovant avec une montée en puissance progressive. Et nous nous focalisons sur des formations de qualité pour aller chercher les personnes les plus éloignées de l'emploi et les orienter sur des métiers en tension. Par exemple, en Occitanie, nous avons développé avec la région un projet pour soutenir la création d'une filière afin de déployer le haut débit, un secteur en pénurie de main-d'œuvre. Ce fils unique reproduirait volontiers le modèle aimant et sécurisant qu’il a connu. Mais son type de sensualité s’oppose à son envie d’établissement et brouille ses repères. Il a 20 ans. Femmes, hommes, il oscille, hésite. Il a 28-29 ans. Il est déjà entré en politique, montant une à une les marches du militantisme. Et il décide de mettre les choses au clair avec ses proches. Ses parents s’étonnent, acceptent, approuvent. Il a 37 ans. Il ne se cache ni ne se pavane. Il dit : «A Coulommiers, c’était un secret de Polichinelle.» Mais, il y a une différence entre le tacite et l’explicite. Il partage la vie d’un enseignant qui lui en remontre dans les débats d’idées. Dans une France en demande de réassurance, le duo établi, hétéro ou non, continue à avoir l’avantage sur le célibat papillonnant. Juin 2011. A l’Assemblée, Riester est réputé talent d’avenir et bon soldat. Le grand débat national commence à peine mais il est déjà décrié. Brune Poirson, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique était ce mardi 22 au matin invitée de la chaîne d'information LCI. Elle défendait donc ce grand débat lancé mardi 15 et qui devrait durer jusqu'à la mi-mars. Elle a donc rappelé que tous les Français étaient invités à y participer, gilets jaunes ou non. Mais il lui a rapidement été demandé comment, concrètement, allaient se traduire les résultats de cette consultation nationale. Etat. "Il y a des garants qui vont eux-mêmes décider de comment est-ce qu'on remonte les informations, comment elles sont synthétisées… Et ensuite ces propositions là nous seront certainement remises", a expliqué la députée du Vaucluse. GrandDébatNational va-t-il vraiment mener quelque part ? Brune Poirson. Et c'est cette petite phrase qui a laissé planer le doute sur l'utilité de ce grand débat national censé donner la parole à tous les citoyens français et calmer la colère des gilets jaunes. Il est aussi possible de contribuer à cette consultation en ligne. Pourtant certains, politiques, représentants des Gilets jaunes ou anonymes, doutent de l'efficacité et de l'utilité de ces débats aux "conditions uniquement élyséennes" selon Eric Drouet, leader d'une partie du mouvement de contestation. ]. Notre objectif est très clair : les jeunes Africains doivent avoir accès à leur patrimoine, mais aussi à celui de l’humanité. Cela passe par des restitutions, mais aussi par des prêts, des dépôts à long terme, des expositions, des échanges d’ingénierie muséale. Il ne s’agit pas de vider les musées, mais de travailler étroitement avec eux sur l’objectif de faire circuler les œuvres. Et cela ne passe pas forcément par un transfert de propriété. Dans le cas du Bénin, comment restituer des œuvres qui, comme toutes les pièces de musées français, sont inaliénables, selon le Code du patrimoine? L’inaliénabilité des œuvres est un principe important mais, comme tout principe, il peut y avoir des exceptions et cela pourrait être le cas avec le Bénin. Une étude juridique est en cours. S’il faut passer par une loi, nous le ferons. Je veux également ajouter que nous serons attentifs sur la préservation de ces œuvres afin qu’elles soient durablement accessibles au plus grand nombre. Les musées jouent au quotidien un rôle essentiel pour cette préservation, mais aussi pour la connaissance des œuvres et leur présentation au public. Didier Guillaume, sur le plateau de Public Sénat. L es rumeurs d’un départ de Stéphane Travert se sont révélées justes : le député de la Manche a été écarté du Gouvernement à l’occasion du remaniement annoncé mardi 16 octobre 2018 . Le sénateur drômois RSDE (Rassemblement social et démocratique européen) Didier Guillaume a été nommé ministre de l’Agriculture . 59 ans, agent du Trésor public de profession, fidèle de François Hollande et de Manuel Valls, Didier Guillaume envisageait, en mai dernier, de quitter la vie politique. « J'ai toujours pensé, et dit, qu'il existait une vie avant et après la politique », expliquait-il sur Facebook. Avant de se raviser. Le sénateur a, depuis, changé de groupe politique au Palais du Luxembourg, passant du groupe socialiste au groupe des radicaux. Il a été conseiller politique de Jean Glavany, alors ministre de l’Agriculture de 1998 à 2002. Sénateur depuis 2008, il s’est régulièrement investi dans les dossiers agricoles . En début de semaine, alors que les rumeurs allaient bon train concernant le remaniement tant attendu, c'était Marc Fesneau qui était préssenti au ministère de l'agriculture . L'élu centriste a finalement été nommé ministre chargé des relations avec le Parlement. On s’est pointé au ministère de l’Ecologie, sous la pluie. Juin à Paris, ce fichu temps qui n’en finit pas et ces saisons détraquées. Aile droite, dans le bureau de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire. Un intitulé à rallonge pour une fonction, vue de l’extérieur, floue, l’utilité de Brune Poirson pour un journaliste béotien comme nous n’étant pas, a priori, avérée. En regardant un peu mieux, on a compris que l’écolo, nouvelle en politique, venue du monde de l’entreprise, passait pas mal de temps à négocier à Bruxelles pour Nicolas Hulot. Dans son bureau, Brune Poirson nous accueille, grande, élégante, élancée. Des plantes éparses, une image d’un grand cèdre libanais de sa meilleure amie photographe au mur et, sur la table basse, des fruits de saison à picorer, fraises, abricots, framboises. Elle est tout à fait agréable, puis, non. Puis, à nouveau, oui. Puis, non. Déconcertant. D’ordinaire un entretien de portrait est une lune de miel papillonnante ou un divorce pétaradant, rarement les deux en même temps. Il nous a fallu un peu de temps pour comprendre qu’il y a deux Brune Poirson. La première, sympa, intelligente, intéressante. On parle de 25% sur ces 400 millions qui ont été décaissés ? Oui, mais je pense que les choses vont s’accélérer. En tout cas, je trouve qu’en dix-huit mois, beaucoup de choses ont avancé. Il faut le reconnaître. Comment voyez-vous l’évolution de Barkhane sur le terrain ? Certains disent que cette force est un peu lourde, un peu complexe à mettre en place. Est-ce qu’il faut « tropicaliser » Barkhane ? Tout d’abord, je voudrais dire que Barkhane remporte de grands succès. Et c’est peut-être encore plus vrai depuis le début de cette année, puisque Barkhane a mis hors de nuire 130 terroristes, dont un certain nombre de chefs. Et Barkhane ne cesse de s’adapter, car vous avez raison, Barkhane est confrontée à des organisations terroristes qui sont sur leur terrain qu’elles connaissent parfaitement. Donc l’agilité, la flexibilité sont des éléments tout à fait importants. Donc au cours de ces derniers mois, Barkhane a fait évoluer sa propre action, car il ne faut pas, bien entendu, qu’on laisse les terroristes reprendre la main sur les populations. Et juste derrière, ce que nous cherchons de plus en plus à faire, c’est de créer l’articulation avec les opérateurs du développement. Il revendique une scolarité «médiocre, en rébellion». A l’inverse, son frère se souvient l’avoir vu se pointer au collège avec le Monde plié dans la poche arrière. Après avoir claqué la porte du domicile familial à 17 ans - il arrive toujours un moment où l’enfant devient plus fort que le père et le laisse «sec sur le carreau» -, il se met à vivre la nuit. Entre sorties en boîte et parties de poker, où il croise quelques figures du milieu marseillais. «Manosque était leur base arrière. Il rejoint Macron sans une hésitation et pense que la politique, c’est se placer«au bon endroit et au bon moment, sans forcément savoir ce que sera l’après». Il parle de son obsession du «cliquet», la conquête du pouvoir crantée, sans jamais redescendre. «Tous les politiques ont de l’ego. Ou alors ils mentent. Il y a peu, je téléchargeais encore la Provence à 5 heures du matin pour voir s’il y avait ma photo dans l’édition du jour.» Ambitieux mais pas intrigant, jure-t-il. PARIS (Reuters) - Le porte-parole du gouvernement s’est excusé dimanche pour avoir évoqué son impossibilité à acquérir un logement à Paris, en dépit d’une rémunération confortable, des propos jugés malvenus en pleine crise des “Gilets jaunes”. “Je me suis mal exprimé, je m’en excuse”, a dit Benjamin Griveaux dans le cadre du “Grand Rendez-Vous” Europe 1-CNEWS-Les Echos. Mercredi soir, lors d’un échange avec “Brut” en direct sur Facebook, Benjamin Griveaux, venu du privé, avait notamment défendu les niveaux de rémunération des ministres et des élus. “Je gagne très bien ma vie, je gagne 7.900 euros net” par mois, mais “je ne vis pas dans un château”, avait-il déclaré. “Je suis locataire, je ne suis pas propriétaire à Paris, parce que le prix du mètre carré est trop cher. Moi je n’ai pas hérité, je n’ai pas d’argent caché. Je n’ai pas de voiture, je ne m’habille pas dans des costumes très chers”, avait-il ajouté. “J’aimerais qu’on ne sorte pas une phrase du contexte”, s’est-il défendu dimanche. “J’ai dit que c’était un choix personnel de ne pas être propriétaire. Je gagne très bien ma vie, et je ne me plaindrai jamais, a expliqué le porte-parole. “Qu’est-ce que j’évoquais ce jour-là? Le fait que Paris a perdu 60.000 habitants en cinq ans, on a perdu le Ve arrondissement. Parce que les gens n’ont plus les moyens de payer un loyer à Paris, de devenir propriétaires”, a poursuivi celui qui caresse l’idée d’une candidature à la mairie de Paris. Des “cagnottes” ont été lancées sur internet pour demander, sur le mode ironique, une aide financière en faveur de Benjamin Griveaux. “J’ai vu qu’il y avait beaucoup de cagnottes. J’ai trouvé ça plutôt drôle, parce qu’il faut savoir se moquer de soi-même quand on fait de la politique, sinon il faut vraiment changer de métier”, a réagi le porte-parole.

Publicité
Publicité
Commentaires
A propos
Le ciel nous tombe sur la tête... quand tout va mal, j'aime regarder dans mon ciel intérieur. Cela me rassure et me donne de bonnes vibes. Ce blog, c'est tout moi, avec le ciel inside.
Publicité
Archives
Publicité